Il m'arrive souvent de penser que la partie est perdue. La démocratie - pour ce qui en reste - sera totalement morte dans quelques décennies. La crise environnementale sera telle que des millions de gens en souffriront ou même en mourront (mais les très nantis n'en ressentiront rien). Les forces à combattre sont tellement grandes (puissances économiques manipulant les gouvernements, dirigeant les médias donc l'information) et nos moyens si maigres. Devrons-nous aller jusqu'à l'horreur extrême pour réagir ? Je le crains. Et même là, serons-nous capables de renverser la vapeur ?
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire