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29 décembre 2014

Tout transformer en «occasion d'affaire»

Ce qu'a imposé le capitalisme au monde entier c'est le droit absolu de tout transformer en «occasion d'affaire» même quand cela entraîne des conséquences néfastes pour le genre humain.

2 commentaires:

  1. Le capitalisme est sans âme. Nous lui donnons vie, la société lui donne vie en fait, les acteurs la définissent ensuite en fonction des intérêts qu’ils défendent. Certains acteurs sont devenus «capitaux», des acteurs ayant une influence qui dépasse même la mission qui les a mis au monde. Même s’il y a pire encore, je prends à témoin les Fonds Teatchers ainsi que celui de la Caisse de Dépôt. La spéculation ne fait plus seulement l’affaire des banques, elle est pratiquée systématiquement par de plus petites sociétés et par les individus. Chacun tente de tirer parti des opportunités qui se présentent. Or, les règles sont devenues à mon avis insidieuses parce qu’elles «appartiennent», sont définies maintenant par une poignée d’acteurs provenant du monde financier.

    Le FMI ne soutient plus, car il ne peut plus le faire (interpréter ici comme étant un échec lamentable dans certains pays), un discours où les pays doivent soutenir à court terme et à tout prix une politique d’austérité; celle-ci a provoqué le chaos chez les Grecs, les Espagnols et qui d’autres.

    Pour quelle raison au Québec plus qu’ailleurs cette politique où un redressement draconien est préconisé fonctionnerait-elle? Pour quelle raison le premier ministre Couillard et ses lieutenants défendent-ils cette thèse au juste? Je crois que le FMI serait plutôt critique à l’égard des mesures que «notre» gouvernement met de l’avant en ce moment.

    Nous sommes invités, je crois, à un dîner de…comptables.

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