Plutôt pessimiste «de nature», j'attends toujours que le monde me donne tort. Or, le néolibéralisme et son idéologie prédatrice, la corruption des élites et leur inféodation aux puissances financières, la montée de la droite et celle des inégalités, le maintien d'une grande partie du monde dans l'extrême pauvreté, le consumérisme et l'individualisme débridés, l'inculture de masse programmée, les conflits armés un peu partout, la mort lente de la démocratie, tout cela ne me donne guère de raison de changer d'opinion.
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