« Ces brigands modernes, que notre éternel désir de voiler la réalité nous fait appeler des « investisseurs », ont repris de plus belle le discours soyeux de la prétendue croissance illimitée, maquillée désormais du mythe d’une croissance verte. Comment prendre pied dans le monde de demain si le présent est laissé sous la botte de gens qui ne voient pas de raison de vénérer l’autel de la vie sur terre ? »
Jean-François Nadeau
Le Devoir, 3 août 2020
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