Dans le domaine de la recherche, les grandes perdantes de cette période de montée du néolibéralisme que nous vivons se sont les sciences de l'esprit (comme on disait à une certaine époque), les sciences humaines et sociales dont le soutien à la poursuite de la richesse est à peu prêt nul et qui, oh horreur, sont la plupart du temps assez (voir très) critiques de l'ordre du monde.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire